Les Origines de Doom

À l’occasion des 30 ans du premier épisode de Doom, Les Origines de Doom. Les débuts de Carmack et Romero retranscrit le travail d’investigation de David Kushner, dont la rigueur n’a d’égal que la magie et la complexité qui ont construit le parcours de ses deux créateurs.

C’est l’occasion de revenir sur une histoire réelle, humaine, transposée dans le virtuel à tous ses niveaux, des controverses aux premiers émois. La traduction de Laurent Jardin nous permet d’apprécier les épreuves, les déchirures et les succès des jeux d’id Software qui ont tant fait rêvé les adeptes du rêve américain.

Les débuts de Carmack et Romero est une nouvelle traduction du célèbre Masters of Doom de David Kushner. Il aborde les coulisses d’id Software et du développement de Wolfenstein 3D, Doom et Quake.

Cet ouvrage est le fruit d’une abondante recherche journalistique : David Kushner a réalisé plusieurs centaines d’interviews sur six ans afin d’alimenter cette immersion palpitante, construite comme un roman, au cœur de la création des chefs-d’œuvre séminaux du FPS.

L’Œuvre de Steven Spielberg

L’art du blockbuster s’inscrit dans la lignée des ouvrages que Third Editions dédie aux personnalités dont l’œuvre a marqué le petit et le grand écran, après Christopher Nolan, Tarantino, John Carpenter, David Fincher, Wachowski et, plus récemment, Hayao Miyazaki.

Ce livre dresse le portrait tantôt autobiographique, cinématographique et politique d’un homme animé par sa passion du cinéma. Ses 400 pages consacrées au maître du divertissement dépeignent la cohérence formelle et thématique qui cimente son œuvre, à travers l’étude appliquée de films qui ont transformé le septième art.

Ce premier volume de L’Œuvre de Steven Spielberg. L’art du blockbuster analyse dix-sept films de ce cinéaste majeur du septième art : E.T., Minority Report, La Guerre des mondes, Les Aventuriers de l’arche perdue, The Fabelmans, etc.

Victor Norek, également connu pour sa chaîne YouTube Le CinématoGrapheur, propose une analyse pointue de cette filmographie par le prisme de la mise en scène, à savoir la manière dont les images et leur juxtaposition produisent un sens différent et complémentaire de celui apporté par les dialogues. Avec limpidité et l’appui de nombreuses captures visuelles, il donne ainsi à redécouvrir ces longs-métrages sous un nouvel angle, pour mieux en révéler leur richesse.

Show Full Content

About Author View Posts

Titiks

Quadra assumé, daron de 3 apprenties gameuses, fan de tout ce qui est capable de raconter une bonne histoire. Touche-à-tout, mais surtout de bonnes aventures qui savent surprendre, et dévoué à l'univers console depuis que Sega était plus fort que tout, vous me verrez bien plus souvent connecté à la nuit tombée #2AMFather.

Previous Test : Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name – Ne réveillez pas un dragon qui dort
Next Amis pour la Mort chez 404 Editions – Fiche de lecture

Comments

Laisser un commentaire

Close

NEXT STORY

Close

Le « console streaming » vient d’arriver chez nous sur Xbox One

17/01/2020
Close