La progression de Lifeless Planet déconcerte autant qu’elle fascine.
Le modèle épisodique fonctionne toujours, les lieux et les situations offrent toujours plus de possibilités et de challenge pour réussir le “crime parfait”.
Une petite fille prisonnière d’une tour, un Golem pour la seconder et une épopée magique empreinte d’une ambiance que n’aurait pas renié le studio Ghibli et de mécanique qui ne sont pas sans rappeler les oeuvres de Fumito Ueda, Ico en tête.
Assurément un coup de coeur Arty de plus dans la ludothèque de nos consoles. Bound ne parlera qu’à ceux qui privilégient l’esthétique au détriment de la technique pure, aux amoureux du mouvement et aux adeptes des messages sensibles. Chacun se forgera son interprétation dans Bound, car rien n’est imposé.
La discussion était terminée, j’étais battu. Notre vision adulte comprend et accepte l’état de fait et la cruauté que le jeu nous impose. Affronte des colosses, tues-les et sauve la princesse. C’est immuable. Une règle admise, rarement remise en question autrement que pour des raisons renvoyant à l’image de la femme. Mais jamais pour son non-sens au final
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