Histoire de continuer dans la bonne humeur amenée par Kazajo et son Mario Sunshine, cette semaine, on part à Springfield! Exit les champignons, bonjour les donuts. Aujourd’hui, on vous parle de Simpsons : Hit & Run !
Le concept
Considérée par beaucoup comme la meilleure série d’animation qui soit, les Simpsons n’ont jamais vraiment eu droit à une adaptation en jeu vidéo qui tient la route. Hit & Run pioche un peu par-ci par là pour faire une sorte de GTA-like loufoque dans l’univers des Simpsons, où les armes à feu sont remplacées par des coups de poing, et les cadillacs par des berlines roses.
Ainsi, vous êtes mêlés à des courses de rue, ou des missions de destruction, dans la peau d’un des membres de la famille, afin de déceler ce qui se cache derrière une mystérieuse menace qui plane sur Springfield. Ainsi, la ville est peuplée d’abeilles cyborgs équipées de caméras. Ma foi, probable chez Matt Groening.
LE BBQ DE PROUST
Seulement voilà, en 2003, j’étais jeune. J’avais une furieuse envie de faire comme mon grand frère, et de jouer donc à GTA, sauf que ce n’était pas de mon âge. Et quand j’ai vu ce jeu des Simpsons, avec une certaine liberté, j’ai fait l’enfant raisonnable et je me suis dit « allez, j’aurais presque l’impression d’être à Vice City ».
BINGO!
C’était dingue pour moi. Pouvoir se balader librement dans la ville, remplie de recoins, de petits secrets, avec la possibilité d’emprunter n’importe quel véhicule, et ce, sans me cacher de mes parents. Ces véhicules, justement, étaient nombreux et tous très variés. Je me rappelle être au volant d’une fusée sur roues, ultra rapide, dans les rues de Springfield, en encore qu’une formule 1 était cachée je ne sais où.
Une fois sorti de ce véhicule, on avait la possibilité de taper les passants pour leur soutirer des sous, le tout avec des blagues propres à la série, ou encore de discuter avec d’autres qui vous donnaient des informations… pas très utiles, au final.
Le scénario, de ce que je me souviens, était un concentré de gros n’importe quoi à base de conspirations, de caméras partout et de centrale nucléaire, bref, du classique des Simpsons.
La force de ce jeu, encore plus quand on a 7 ans et qu’on est fan de Bart parce qu’il « est trop cool et qu’il fait du skate », c’est les doublages originaux, qui permettaient immédiatement de se sentir dans la série, aidés des graphismes proches de l’œuvre originale.
Je vous fais cadeau des diverses critiques sur les bugs ou la répétitivité, à cet âge là, je m’en foutais pas mal. Vous devriez pouvoir trouver ce jeu à peu cher dans les brocantes ou sites d’occasion, et je vous suggère de vous y adonner à l’occasion, histoire de voir ce que c’était d’être un vrai thug, à cette époque.
je n ai JAMAIS connu , vu ou meme joué à ce jeu
j veux trop essayer maintenant !!!
merci
Si tu le trouves en broc ou si internet n’hésite pas, c’est vraiment fun pour le coup héhé