Preview : Les Schtroumpfs – L’Épopée des Rêves : un plateformer 3D qui donne envie

Prévu pour fin 2024 chez Microids et sur la plupart des plateformes, le nouveau jeu dédié aux créatures de Peyo nous permettra cette fois de jouer en duo afin de parcourir les royaumes des rêves. « Les Schtroumpfs – L’Épopée des Rêves » s’est vu offrir une petite preview sur PC, nous avons eu droit à deux niveaux, séparés par quelques heures de jeux.

Je n’ai pas vraiment eu le postlat de départ, mais il semblerait que tout le monde au village Schtroumpfs se soit mystérieusement endormi. Il vous incombe de réveiller tout le monde avant que l’infâme Gargamel et son vilain Azraël ne parvienne au village.

Après le très sympathique Prisonnier de la Pierre Verte, Microids change de recette et offre ici un plateformer 3D qui nous porpulse dans des royaumes oniriques disposant chacun – du moins c’est l’impression que cela donne après une heure de jeu – de sa propre originalité. Après tout, dans le royaume des rêves, tout est possible !

Je n’ai pas pu tester sur PC l’aspect multijoueurs – même si à la sortie finale, je saurais avec qui jouer – mais ce que je peux en dire c’est que si le jeu n’est pas foncièrement difficile pour les habitués, il demande quand même un peu de précision car de nombreux passages nécessitent des sauts et de jouer également avec la profondeur. On peut rapidement se retrouver dans le vide, sans que cela ne porte trop à conséquence, puisque des Check-Points sont répartis intelligemment dans le niveau, tout en conservant notre progression (les objets récupérés le restent).

Notre petite Schtroumpf dispose de très peu de mouvements, mais leur maîtrise vous assurera de pouvoir traverser les niveaux rapidement, puisqu’il peut courir, sauter, flotter quelques instant pour allonger son saut, ou se maintenir en l’air une poignée de seconde dans une bulle avant de pouvoir se propulser vers l’avant. Cela suffit pour la progression, qui vous demandera de récupérer quelques collectibles et des clés pour activer les mécanismes nécessaires à la progression. C’est très linéaire et il n’y a vraiment aucun aller-retour.

Visuellement, c’est joli et coloré, même si pour moi – sur PC du moins – ça manque un peu de polish pour représenter un monde onirique. Cela dit, chaque mon dispose de sa petite originalité. Et si le premeir se concentre principalement sur la gestion des sauts, le second joue avec les reflets, vous obligeant à regarder ce qui se déroule dans les miroirs pour progresser.