Salut tout le monde ! Je me présente donc sous le pseudo sympatoche qu’est « FrimouSe » : je suis un nouveau rédacteur au sein du barbecue le plus célèbre d’Internet et je me lance sur la grillade de mon tout premier article. (Bon ok, on va arrêter les feintes sur les barbec d’entrée de jeu, ça le fait moyen.)
Je vais vous faire part d’une série qui m’a littéralement tapé dans l’œil, et c’est bien évidemment « Mobile Suit Gundam Iron-blooded Orphans ». C’est ce nouvel arrivant produit par le studio « Sunrise » qui m’a réconcilié avec la série des Gundam.
Une p’tite présentation s’impose. La première saison de l’animé voit le jour en automne 2015, produit par le célèbre studio Sunrise, qui a la main mise sur pas mal de productions de séries connues ; à savoir Nicky Larson, Cowboy Bepop, ou encore Code Geass et bien évidement Gundam. De beaux petits noms qui nous en disent déjà long sur la qualité de la série ! L’animé est réalisé par Tatsuyuki Nagai qui travaille en collaboration avec Mari Okada qui elle-même supervise le scénario. Tous deux ont déjà pu travailler ensemble sur plusieurs séries télévisées comme par exemple le light novel « Toradora ». On peut donc espérer du travail bien fait !
En ce qui concerne la bande son de l’animé, pas de quoi être déçu non plus : nous avons affaire à « Masaru Yokoyama » un vétéran dans la création de bande originale dans les séries animés, et qui a notamment participé à la création de la bande originale de « Monster Hunter Stories ».
Une adaptation manga réalisé par « Kazuma Isobe » a déjà vu le jour en décembre 2015 dans le « Gundam Ace », un magazine de parution des mangas centré sur l’univers Gundam.
Le contexte de la série
Qu’est-ce qu’il y a à savoir sur la série à proprement parler ? Pour tenter de vous faire simple et sans vous spoiler, l’histoire prend place dans un monde post-apocalyptique. Une grande guerre a eu lieu entre la Terre et les colonies de Mars. Durant celle-ci, et pour y mettre fin, des Mobiles Suit spéciaux ont alors été créés : les « Gundam ».
Le plot de l’histoire arrive quand « Kudelia », qui représente les idéaux d’indépendance des colonies de Mars, arrive dans la base militaire de la « CGS ». Elle rencontrera à ce moment « Orga Itsuka » et « Mikazuki Augus » qui sont amis depuis leur enfance.
Fatalement rien ne se passe comme prévu et une révolte éclate au sein de la base militaire.
Et dès cet instant on nous met bien les points sur les « i ». On va avoir affaire un animé assez sanglant et violent, qui nous plonge dans un environnement assez réaliste, bien qu’il s’agisse d’un animé de science-fiction avec des robots géants, des batailles dans l’espace et bien d’autres choses encore. Et c’est justement ça qui m’a fait adorer cette série.
Bordel que ça fait du bien de ne pas avoir « Oui ? Non ? Je ne sais pas. Moi j’aime le poulet cuit mais ma maman est morte d’une overdose de KFC. Donc je vais me venger. » On est dans un environnement de révolution et d’après-guerre ultra réaliste, notamment le fait que l’on voit énormément d’enfants-soldats se battre, que les conditions de vie de certains humains soient proches de l’esclavagisme et enfin que les objectifs soient « simples et forts » ( Pas de « je veux faire péter la Terre car ma maman s’appelait Martha et vous l’avez zigouillée ») ! Il n’y a donc pas «d’irrationalisme» dans cet univers, malgré la différence avec notre époque ; on se sent réellement impliqué dans l’aventure.
Ok d’accord, pourquoi le voir alors ?
Pour un tas de raisons ! J’essaye de faire court promis sinon on va déjà me jeter au bûcher.
Si vous êtes déjà un fan de l’univers des méchas, il faut même pas se poser la question et le regarder. Car, bordel, les Mobiles Suits sont vraiment sexy « Barbatos Lupus, une beauté ». Les personnages sont ultra intéressants et j’insiste vraiment là-dessus ! Ils ne vont pas commencer à tergiverser pendant 1000 ans sur un problème et ça, ça fait plaisir ! Cependant, il ne faut pas négliger la romance qui est très bien dosée : l’animé s’attarde vraiment sur ces quelques instants de romance et on apprécie de voir leur évolution. D’ailleurs, il m’est arrivé d’être surpris par certaines relations et ça c’est cool. J’ajouterai juste une seule chose concernant cela : « Mikazuki est un beau gosse, ladies calm your tits. »
Un des aspects à ne pas oublier concerne, bien évidemment, les bastons ! Rien à redire là-dessus, c’est du pur spectacle ! Les chorégraphies de combats sont époustouflantes : on est à 100% dedans et je vous raconte pas les frissons (true story). Petite mention à un combat qui se passe dans la saison 2 et qui est pour moi le plus tendu de la série, un vrai plaisir. J’ai juste à dire « Mikazuki la machine. Pousses toi tu me gênes, j’suis plus fort que toi. ». Vous aviez remarqué qu’il était mon personnage favori ? Noooon sans déconner mec?!
La bande originale est quant à elle superbement bien réalisée ; C’est un pêle-mêle d’émotions, chacune aussi intenses les unes que les autres. Par rapport aux openings ils sont très prenants et vous donnent l’envie de ne pas les zapper au début des épisodes. Pour ce qui est des endings, il m’est souvent arrivé de les faire sauter car j’étais frustré d’arrivé à la fin des épisodes et de devoir attendre une semaine pour voir la suite. Je suis faible.
D’ailleurs, vous n’aurez pas à subir cette attente car la deuxième saison s’est clôturée récemment. Chaque saison comprend 25 épisodes de 25 minutes intenses. Vous ne verrez donc pas le temps passer.
On arrive à la fin de cet article, j’espère qu’il vous aura donné l’envie de commencer cette magnifique série ! Bonne fin d’appétit !