Pendant cette gamescom 2018, Ubisoft nous a invité à venir poser nos paluches sur Transference. Nous y avons joué en VR pendant une petite dizaine de minutes, un Oculus Rift sur le museau. Voici notre histoire.
Bien que la séance fut courte, l’expérience fut intense, tant une tension bel et bien palpable est omniprésente tout au long de l’exploration. La démo que j’ai pu tâter demandait d’explorer une battisse pour démêler le mystère d’une disparition. Je ne vais pas trop vous en dire sur le scénario, tant il sera prépondérant dans Transference. Mais sachez juste que j’ai pu naviguer entre plusieurs point de vue (et époques) afin de venir à bout de quelques petites énigmes, ni trop simples ni trop compliquées. Petit twist intéressant, il sera parfois nécessaire d’utiliser ses deux mains pour effectuer deux actions en même temps, chose à laquelle je n’ai pas pensé directement (je vous l’avoue).
Notez également que les différentes phases plus contemplatives, qu’elles soient visuelles ou auditives, sont extrêmement bien jouées/doublées. Renforçant encore plus l’immersion au sein de cet univers aussi mystérieux que malsain.
Difficile d’en dire plus sans spoiler mais sachez que cette courte plongée au sein de Transference a réussi à me chambouler et m’a donné envie d’arpenter le jeu avec un caque VR vissé sur le crâne. Car, bien que le titre peut se jouer sur écran de TV, il est clair qu’il a été pensé avant tout pour la réalité virtuelle.
Vu que cette article est un poil court, j’en profite pour vous rappeler qu’Ubisoft vient de sortir une démo biclassée préquel pour Transference. Disponible gratuitement sur PS VR et PS4, cette démo permet de découvrir l’ambiance et les mécaniques du titre. Du coup, je ne peux que vous conseiller de la tâter, d’autant plus que c’est gratuit !
Sinon, Transference est attendu pour le 18 septembre 2018 au prix de 24,99 euros sur PS4, Xbox One et PC. Pour la VR, le titre sera compatible avec le PlayStation VR, l’Oculus Rift et l’HTC Vive.