Cher journal, en cette année 2890, la terre vient de partir en petits morceaux par une force extra-terrestre en un instant. Heureusement pour moi, j’ai réussi à m’échapper grâce à un vaisseau permettant de remonter dans le temps sur une durée de 28 jours. La mission développée par Rocktastic Gamic et éditée par Suprise Attack est simple : buter toutes les formes d’extra-terrestres hostiles afin de sauver la Terre d’une éventuelle explosion. C’est ainsi que commence mon aventure, moi, Smackdown Sam.
Jour 1 : Les potes
A croire qu’ils avaient prévu que la terre allait péter. Je me suis alors retrouvé avec trois autres gugusses, des machines de guerre : Ownage Olga, la seule fille de l’équipe, Rampage Rufus, le blackos musclé, et Destauctobot, le robot tueur au grand cœur.
Avec moi, le blondinet beau gosse, on formait l’escouade parfaite, tirée d’un mauvais film d’action, pour zigouiller du monstre.
On avait tous des rôles bien définis. Moi, j’étais le passe-partout de l’équipe. Armé d’un machine gun ou d’un shotgun, que je trouvais lors des missions, je pouvais autant gérer les combats au corps-à-corps qu’à distance. Autant vous dire que partir en mission solo pour moi, c’était du gâteau.
Ownage Olga n’avait malheureusement pas cette chance. Elle ne pouvait maîtriser que des armes à distance telles qu’un sniper ou une arbalète du turfu. C’est pas pour faire le mec, mais en mission solo, elle tenait pas longtemps. Par contre lorsqu’elle était avec nous, c’était un massacre !
Rampage Rufus, son truc, c’était de rentrer dans le lard des bestioles et de leur arracher les tripes. Il se baladait soit avec une tronçonneuse soit avec une épée. Olga et lui, c’était le couple parfait.
Enfin, Destauctobot était un peu spécial. C’était le moins rapide d’entre nous, mais celui qui faisait le plus de dégât. Fallait que ça pète avec lui, en même temps un mec armé d’une sulfateuse ou d’un lance-missiles ne peut pas vraiment faire autrement.
En plus de nos armes, on avait chacun quatre compétences. Ça pouvait nous sortir d’une impasse ou nous aider à buter un boss plus rapidement. Je pouvais ainsi doubler mes tirs, lancer un bombardement, tirer une multitude de balle, et appeler mon pote Mr Chewie, un T-Rex.
Ownage Olga pouvait, quant à elle, poser des mines, faire des tirs qui électrocutaient les ennemis, devenir invisible ou encore avoir des balles tuant les mecs d’un seul coup.
Rampage Rufus pouvait faire exploser sa batterie afin de causer plus de dégât, ou tourner autour de lui-même, ou alors quand il tuait un monstre ça produisait une onde de choc tuant ainsi d’autres montres, et enfin, il pouvait devenir indestructible pendant un certain laps de temps.
Pour finir, Destauctobot pouvait tirer des missiles à tête chercheuse, lancer un laser de défense, recharger ses batteries, et activer un orbe de protection autour de lui, faisant des dégâts aux monstres l’approchant.
Jour 2 : Ce que vous appelez l’enfer, il appelle ça chez lui
Après avoir fait les présentations et choisi qui partirait en mission, un vaisseau nous amène sur différentes planètes. On pouvait choisir de partir en solo ou en équipe. Chaque planète était constituée de trois niveaux, pour passer au niveau suivant fallait déglinguer du monstre afin de se frayer un chemin jusqu’au téléporteur.
Et bordel, y en avait des monstres. Le bestiaire sur ces planètes était hallucinant. On passait de monstre robotique, a des larves mutantes, en passant par des aliens qui nous canardaient, en oubliant pas les tanks massifs, et les petits aliens explosifs.
Bien sûr, on avait également affaire à des boss. Des gros, des grands, des mutants, des robots, y en avaient pour tous les goûts. Comme pour les mondes d’ailleurs, on passait d’une ville ressemblant à une ville humaine futuriste, à un laboratoire, puis par une grotte, ou encore un monde recouvert de forêt et j’en passe.
Chaque monde regorgeait d’artefacts permettant de nous améliorer. On pouvait ainsi augmenter notre vitesse, nos dégâts, notre santé, notre résistance, notre rapidité de tir, mais également avoir des tourelles, des balles qui enflammaient ou qui gelaient les ennemis. Il y avait plein d’autres améliorations, mais celles-ci étaient les plus courantes.
Jour 3 : Demain ne meurt jamais
Le principe était assez con : On partait du vaisseau pour aller sur une planète, on zigouillait un max de monstres, on mourrait, et on remontait le temps pour revenir sur le vaisseau. Outre le fait de savoir qu’on ne mourrait jamais, on se souvenait de chaque mission qu’on avait faite et donc on gagnait en expérience.
Cette expérience nous permettait d’améliorer notre vie, nos dégâts, notre vitesse d’attaque ou encore notre vitesse de rechargement. Il fallait bien choisir pour être le plus efficace contre les monstres.
En revenant à la base, on pouvait également améliorer notre arme afin d’améliorer les dégâts de ces balles, la taille de son chargeur, mais également la distance de tir.
D’ailleurs en parlant de la base, on y passait quand même vachement de temps à tout améliorer, tout optimiser au poil de cul près pour la prochaine mission, mais on nous passait toujours la même boucle musicale qui à force devenait horrible.
Conclusion.
Rogue Continuum est un jeu qui va vous faire passer de nombreuses heures dessus au point où vous vous prendrez pour le héros du jeu. A part une bande sonore peu inspirée, le jeu a très peu de défauts et a une rejouabilité infinie, on prend énormément de plaisir lors des parties à plusieurs et on a qu’une envie, c’est d’optimiser nos personnages au maximum. Une vraie bonne surprise.
Rogue Continuum
- Développeurs Rocktastic Gamic
- Type Rogue Like
- Support Pc
- Sortie 15 Septembre 2015
Y’a bon!
- Jouabilité infinie
- Des armes trop cool
- C’est plutôt joli…
- Énormément d’artefact à récupérer
- Une difficulté bien dosée
- Un mode co-op du feu de Dieu !
Beuargh!
- Une musique agaçante à la longue
- On ne peut pas encore jouer en ligne
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