Plants vs Zombies

  • Développeurs PopCap Games
  • Editeurs Microsoft (pc, XOne), EA (ps4)
  • Type TPS Potager
  • Support PC, ,Xbox One, PS4
  • Sortie 21/08/2014

Dans le même genre :

  • Team Fortress 2 (pour le fun et les couleurs)
  • Léa Passion Jardinage

Papy André et le petit pois magique

Afin de compléter ce live d’une heure par Bery et Apo, il nous fallait garder une petite trace écrite sur Plants vs Zombies : Garden Warfare.

Remettons un peu le contexte : en 2009 sort un tower defense en ligne ultra coloré dans lequel vous devez défendre votre jardin des zombies qui cherchent à l’envahir. Vu comme ça, c’est un poil loufoque mais ça peut marcher.
Le jeu rencontre un relatif succès et est plutôt bien reçu par la critique. Un an après, il est décliné sur iphone, et là, la folie. Le jeu est téléchargé des milliers de fois, élu meilleur jeu de l’année, du merchandising est en vente etc etc.

Puis dans la tête d’EA, il y a eu le petit clic : « eh mais les gars, là on a tous les casu, mais il nous faut les gamers maintenant, si on faisait un tps ? »
L’annonce a d’abord été vue comme un fail à prévoir, malgré les premières vidéos déjà sympathiques. Au final, qu’en est-il aujourd’hui ?

Le plasma-pois mesdames et messieurs
Le plasma-pois mesdames et messieurs

La Guerre des patates

On commence donc par le commencement, au lancement du menu, on a le droit à plein de modes. Capture the flag, contre des bots, team deathmatch, tout y est. On ajoutera un petit mode où tous les joueurs sont des plantes et doivent faire face à des zombies bot arrivant en masse, très sympathique.

Naturellement, on lancera un team deathmatch, vient ensuite le choix de race : Plantes ou zombies.
Disons plante, allez. Quatre classes sont proposées : Pisto-pois (fantassin de base), Mordeur (corps à corps only, le fufu de la bande), Tournesol (le heal,) et Cactus (le sniper, avec drone en gousse d’ail et tout le toutim)

De même du côté des zombies, toutes les classes sont véritablement différentes et proposent des caractéristiques propres, à savoir une arme et trois compétences spéciales.
Le pisto-pois aura par exemple un sprint pendant quelques secondes, alors que le fantassin zombie aura droit à une roquette dévastatrice. Le tout se recharge avec le temps au cours de la partie et s’apprend au fil des niveaux (propres à chaque classe, en plus d’un niveau général).

Une sorte de Sniper Elite sous forme de cactus, en somme
Une sorte de Sniper Elite sous forme de cactus, en somme

Le gameplay est simple, un bouton pour tirer, un pour viser, et 1, 2 et 3 pour les bonus. Ajoutez un timide saut à l’aide de la barre d’espace et vous avez tout. Les parties sont assez courtes, nerveuses et c’est très vite un bordel sans nom, mais toujours lisible. Certaines maps cependant sont bien plus grandes, et prennent une dimension de « guerre rangée » intéressante.

Le jeu est clairement fait pour la co-op. Chacun a la possibilité de réanimer son prochain lorsqu’il tombe dans les pommes (un comble. Pour une plante.), ce qui aura pour effet d’annuler le frag pour l’adversaire. De plus, chaque classe ayant une utilité particulière, chacun sera indispensable à sa manière.

Gros point noir, Plants vs Zombies propose un mode co-op local sur PS4 et Xbox One qui n’est pas dispo sur PC, même en branchant deux manettes. En 2014, c’est très bête.

Ils nous ont même mis un drone!
Ils nous ont même mis un drone!

Coooonclusion. Je dis non! Mais un Avis, je dis OUI!

En bref, s’il n’est pas aussi profond qu’un Battlefield (ce n’est pas le but d’un légume, rappelons-le), Plants vs Zombies n’a pas à avoir honte face à d’autres mastodontes du jeu online. C’est beau, c’est nerveux, c’est plus profond que ça en a l’air et je ne peux que vous conseiller de jeter un œil à la vidéo maison de gameplay, histoire de vous faire une vraie idée.

Y’a bon!

  • Réalisation soignée
  • Un gameplay simple et efficace
  • Pas très cher
  • De l’humour partout

Beuargh!

  • Un poil redondant

L’info en +

Le prix des fruits a reculé de 12 % en France cet été quand celui des légumes a baissé de 3 %.

Le printemps clément a permis d’avoir « des produits au bon moment alors que l’année dernière nous avions connu des catastrophes climatiques », ajoute-t-il.

Cette récolte clémente a également eu un impact significatif sur les prix des fruits et légumes qui ont reculé respectivement de 12 %, à 3,34 euros le kilo et de 3 %, à 2,14 euros le kilo par rapport à l’an passé. Une baisse qui ramène les prix à un niveau similaire à ceux de 2012.

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