Le PIPCU, « The City of London Police’s Intellectual Property Crime Unit« , que l’on peut traduire par l’unité de la criminalitée liée à la propriété intellectuelle de la police de la ville de Londres » mène une enquête sur les moddeurs britanniques sur les consoles Nintendo Switch.
Rien de pire pour une compagnie que de voir ses jeux et consoles piratées. Et Nintendo est loin de dormir sur ses deux oreilles face à la multiplication des puces et autres « hacks » softwares ajoutés à la console.
Le 4 décembre, le PIPCU a arrêté un homme de 43 ans pour violation du droit d’auteur. Des disques durs, puces électroniques et autre matériel informatique ont étés saisis. Cet homme vendait des consoles moddées et des mods hardware.