Infinity Runner
- Développeurs Wales Interactive
- Type Course à poil
- Support Pc
- Sortie 14/07/2014
Dans le même genre :
- Mirror’s Edge
Infinity Runner
Pas de quoi courir l’acheter.
Les jeux faits pour lOculus Rift arrivent tout doucement mais sûrement. La preuve avec Infinity Runner qui pour être avec vous perd beaucoup en intérêt si vous ne possédez pas le casque de réalité virtuelle dOculus VR.
Car Infinity Runner, voyez-vous, est un jeu de fuite en avant dans des couloirs en 3D assez moche mais globalement fluide et faisant la part belle à limmersion et au body awareness (Un peu comme Mirrors Edge).
Vous êtes tout nu et perdu dans un vaisseau spatial et avez pour seule compagne une dame, moche elle aussi, qui tente de vous guider pour vous échapper et survivre à cet environnement hostile.
Sen suit une course effrénée où vous aurez parfois besoin de glisser, sauter et esquiver des dangers perfides et parfois incompréhensibles. Oui parce que bon, autant généralement ce que vous devez faire est clair, autant parfois même si cest clair et bien ça ne marche pas. Pour quelles raisons? Jignore de le savoir. Surtout lorsque au bout de la 15 ème fois, par miracle ça passe.
Vous devrez aussi collecter des documents dont globalement on se fiche et frapper des ennemis à coups de QTE (Quick Time Event) nayant pas de vraie logique.
Que dire de plus sur Infinity Runner? Ah bah oui bien entendu. Dès le deuxième niveau vous vous rendrez compte que vous pouvez vous transformer en loup-garou. Et ouais rien que ça.
Il n’est pas idéal d’avoir la courante
En dehors de son mode histoire, Infinity Runner vous propose de rejouer les niveaux déjà traversés pour battre votre score, mais aussi de générer des salles à linfini et un mode multijoueur où pour le moment il y a entre personne et pas un chat (Jexagère un peu, mais cest vide la plupart du temps).
Attention, si vous navez pas lOculus Rift, ce qui est sans doute le cas, Infinity Runner est à jouer au pad. Y jouer au clavier revient presqu’à devoir écouter du Régine en DubStep. Pas la meilleure des idées donc.
Bon comme je le disais plus haut, la réalisation ce nest pas son fort à ce Infinity Runner. Textures et modèles 3D dun autre âge et musiques horripilantes. Si les développeurs comptaient nous stresser avec cette techno venue dun autre siècle, cest assez réussi.
Coooonclusion. Je dis non! Mais un Avis, je dis OUI!
Infinity Runner avec l’Oculus Rift et une autre playlist que celle du jeu, ça passe. Infinity runner avec un pad, sans l’Oculus et l’OST du titre, ça risque de passer avec difficulté.
Y’a bon!
- Un runner efficace…
Beuargh!
- … perdant son intérêt sans l’Oculus Rift
- Réalisation d’un autre age.
L’info en +
Mark Roberts, l’homme qui courait à poil dans les stades.
Mark Roberts est ce qu’on appelle un « Streaker », un individu qui trouve ça rigolo d’exposer popole dans des stades lors d’évènement sportifs très médiatisés.
La passion de Mark Robert remonte à 1993 lorsqu’il vit une femme courir nue sur un terrain de Rugby à Hong Kong. Après un pari bien arrosé l’homme décida de faire de même dès le lendemain.
Espérons qu’il n’attrape jamais le rhume du pénis.
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