Les remasterisations depuis l’arrivée de cette nouvelle gen de consoles, on s’en mange par cargos entiers. Alors pourquoi ne pas en offrir une à Gears of Wars premier du nom alors que le 4ème épisode doit arriver d’ici 2016 sur Xbox One?

9 ans après sa sortie sur Xbox 360, il est temps pour moi de remettre les mains dans le locuste et voir si le travail est propre ou fini à la mitrailleuse/tronçonneuse.

Gears of war ultimate edition review critique test
Aaaah l’automne… avec un flingue

Gears of War, le rappel

Ce que nous raconte Gears of War dans tous ces épisodes n’est pas ce qu’on a écrit de mieux en matière d’histoire, mais au final le tout passait aussi bien qu’un bon gros film de série Z des années 80.

On se retrouve donc sur la planète Sera, alors que comme toujours l’humanité passe son temps à se taper sur la gueule pour des ressources. Cette fois-ci c’est l’imulsion, une nouvelle source d’énergie providentielle, qui est là cause de tout ceci. Alors qu’il n’y avait plus rien à détruire ou tuer, l’humanité se retrouve face à une nouvelle menace qui vient des profondeurs de la planète, les Locustes. 14 ans plus tard, les combats pour la survie ne semblent pas vouloir s’arrêter. Il ne reste plus qu’un seul espoir et c’est Marcus Fenix qui est là pour l’apporter.

Ce Gears Of War version Xbox One a vraiment fait peau neuve, si l’on apprécie la beauté de l’ensemble, les textures sont bien entendu de meilleure qualité et ne sont plus affectées par ce chargement typique de l’Unreal Engine 3 des débuts. Le genre d’amélioration que l’on est en droit d’espérer d’une remasterisation d’un jeu de cet âge. Par contre, ce qui est vraiment frappant, c’est le travail des lumières et autres effets de particules. Le son n’est pas en reste et a pris un vrai coup de jeune. Ça en met plein les yeux et les oreilles et donne au titre un vrai feeling new gen. On notera par contre que le 60 images secondes n’est disponible qu’en multijoueurs. Ceci dit, et ce malgré les 30fps du mode solo, Gears of War gagne en stabilité et ne souffre plus de chute de framerate qui était bien plus handicapante au final.

Gears of war ultimate edition review critique test
De bien belle lumières

On dépoussière Marcus

Le gameplay n’est pas en reste et gagne en souplesse. Les gros lourdeaux nous servant de héros sont plus agiles, peuvent maintenant soigner des coéquipiers à proximité sans devoir quitter notre planque, changer d’arme pendant un sprint et surtout se protéger de façon plus fluide. Si l’on couple cette mise à jour à l’essence même des Gears of War au côté épique de chaque combat, on arrive toujours à prendre énormément de plaisir, et ce même si on connaît la série par cœur et que l’on ait déjà fait cet opus.

Gears of war ultimate edition review critique test

Coooonclusion.

Au final que dire de ce Gears of War Ultimate Edition? A part l’évidence d’un titre toujours aussi jouissif et ce même presque 10 ans après la sortie de l’épisode d’origine. Que c’est plus beau, plus fluide, et qu’on s’éclate? On ne trouvera réellement qu’à redire sur l’absence d’une réelle collection comme Halo le fait.

Gears of War Ultimate Edition

  • Développeurs The Coalition
  • Editeur Microsoft Games Studio
  • Type Tronçonnage entre potes
  • Support  XboxOne
  • Sortie 25 août 2015

Y’a bon!

  • Le coup de frais technique qui donne un bon feeling new gen au titre.
  • Le rafraîchissement de certaines lourdeurs de gameplay
  • Un multi de folie (comme depuis le début)
  • Du bon gros fun et ce toujours après 10 ans.

Beuargh!

  • Mais moi j’voulais aussi le 2 :'(
  • Eventuellement le 60fps sur le solo. Mais je préfère un frame-rate stable.
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Petit Ange Parti Trop Tôt

Parfois, un Pixel s'éteint et vogue vers d'autres horizons. Mais ce n'est pas parce qu'il ne fait plus partie de notre grand barbecue que ce qu'il a écrit disparaît !

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