Dynasty Warriors : Gundam Reborn
- Développeurs Temco Koei Games
- Editeur Namco Bandai
- Type Beat’em all
- Support PS3, PS Vita
- Sortie 27/06/2014
Dans le même genre :
- Dynasty Warriors : Gundam
- Dynsaty Warriors : Gundam 2
Forte de ses 3 titres précédents, très appréciés ou moins, la série s’achève avec ce dernier épisode qui s’avère bon, voire très bon. Pour cette ultime bataille, les fans et les joueurs ont été écoutés et ça nous donne un jeu explosif et un beat’em all majestueux. Fans de Gundam et inconditionnels des beat’em all vous êtes face à un très bon jeu. Prenez vos Mobile Suits et engagez vous auprès de PxlBbq dans cet affrontement décisif.
Un univers exceptionnel
Je ne vous raconterai pas l’histoire en détails car elle est sympathique à découvrir et très bien narrée, mais voilà quand même le topo : vous êtes un jeune pilote très doué qui doit remplir des missions périlleuses pour que la Fédération puisse vaincre.
Au delà de la narration, le scénario est très agréable bien qu’il soit secondaire comme dans tout jeu du même genre mais si vous jouez avec les voix japonaises, vous aurez droit à une immersion plus que correcte, foi de pixel!
En terme de graphismes, on revient aux sources puisque le cell shading disparaît et laisse sa place au même style que le deuxième opus. Moins d’ennemis affichés à l’écran mais ça reste très satisfaisait puisque ce sont de véritables hordes d’ennemis qui vous encerclent!! Le jeu reste très fluide même lorsque les troupes ennemies sont légion et c’est très satisfaisant. L’univers est très bien respecté mais se permet certaines largesses que je vous laisserai découvrir héhé.
La bande son ne dénote pas et est bien utilisée, on a le droit à de la musique épique en combat et quelques morceaux tout à fait convaincants lors des phases de dialogues, enjoy!!
Hajime
Beat’em all équivaut à combat de masse et c’est donc un point central du jeu. Verdict en terme de gameplay? Simple mais diablement efficace!! Une touche pour tataner normalement les vagues d’ennemis, une autre pour tirer au canon, une troisième pour sortir une « spéciale » dévastatrice et une touche de furie qui vous rendra godlike pour ce qui est des coups. Simple mais efficace donc parce que vous ressentirez vraiment votre propre puissance. Joué en mode normal, perdre de la vie s’avère plutôt délicat si vous gérez bien à la manette. Je regrette juste l’imprécision du canon qui peut être « frustrante » lorsque vous devez dézinguer un truc qui vole et qui vous bombarde sec!!
Sinon l’organisation type d’une mission ressemble à ce qui suit : Des zones à « libérer » (comprendre massacrer une certaine quantité d’ennemis dedans), tuer les ennemis un peu plus coriaces, voir arriver le boss du niveau et lui aplatir la face aisément. Rajouter quelques objectifs secondaires, de la défense de coéquipiers et vous obtenez le très bon jeu que l’on a.
Coooonclusion. Je dis non! Mais un Avis, je dis OUI!
Dynasty Warriors : Gundam Reborn est un véritable coup de coeur ici. Nous connaissions la série et l’esprit y est bien retranscrit. Ajoutez y des efforts de la part d’Omega Force et de Bandai pour satisfaire les gamers et vous obtenez un titre jouissif, bourrin à souhait et qui ravira surement les fans (et les non initiés aussi) du manga. Beat’em all de l’année? Peut-être haha
Y’a bon!
- Assez beau
- Univers soigné
- Bonne rejouabilité
- POOOOOWEEEER
Beuargh!
- C’est tellement bon qu’on en voudrait encore
- Répétitif? (mais c’est un beat’em all)
L’info en +
Mobile Suit Gundam (, Kid senshi Gandamu?), ou plus simplement Gundam (?), est une franchise danimation japonaise créée par Yoshiyuki Tomino et Hajime Yatate pour le studio Sunrise en 1979. Appartenant au genre mecha, elle présente divers éléments classiques de la science-fiction guerres spatiales, univers scientifiquement avancé mais innove par sa volonté de réalisme, aussi bien à travers la narration quà travers les éléments technologiques.
Les robots géants, essence du genre mecha, y sont donc pour la première fois ramenés au rang de simples armes de masse au Japon. Cette idée novatrice, qui reflète alors louverture du public traditionnel des séries animées aux adultes, donne naissance à un sous-genre de la science-fiction japonaise nommé « real robot ».