Grandia … Une série qui vous a peut être fait rêver sur Saturn et PlayStation (pour le premier opus), puis sur Dreamcast aux grandes heures de gloire de la petite grise de Sega en 2000. Pour enfin débarquer en exclusivité sur PS2 avec Grandia III, sorti au Japon et USA (dont je ne connais absolument ni l’histoire, ni le gameplay). Enfin Grandia X, dernier épisode de la série, est la star de ce jour, car il débarque cette semaine sur le PSN japonais (sur PS3 au prix de 1200 yens). Si vous ne connaissez pas cette série, foncez acheter ou émuler le 2. C’est un de mes meilleurs souvenirs de JRPG. Surtout que son histoire n’a rien à voir avec le premier opus, donc pas besoin de les faire dans l’ordre pour les apprécier.
Son créateur, Takeshi Miyaji, est décédé très jeune en 2011 (connu pour la série des Silpheed, GunGriffon et des Grandia), et laissa derrière lui un RPG tout mignon et enfantin aux premiers abords, mais qui demeure néanmoins extrêmement difficile avec une courbe de progression douloureuse.
L’histoire du X est simple : votre personnage se nomme Evan, et ce dernier évolue dans le « Monde des Esprits » où les catastrophes naturelles se produisent fréquemment.
Afin d’arrêter les esprits en fuite, l’armé (que vous détestez) vous appelle à la rescousse pour tout zigouiller parce que vous êtes unique et que vous faites partis d’une classe très spécial. Bref, vous aurez vite 4 acolytes avec vous et vous allez traverser 4 super donjons pour récupérer 4 super artefacts. Tout cela, étant un pretexte uniquement pour jouir du système de combat de la série (très inspiré du II) qui est un mélange subtile et bougrement efficace de tour par tour et de temps réel.
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